Sur son ouvrage Mesmer et le magnétisme animal (1853) et une étude.
Dans la lettre de 1854, Bersot remercie son correspondant de son article paru dans L’Illustration sur son ouvrage Mesmer et le magnétisme animal et lui fait parvenir la
seconde édition : « Elle est un peu augmentée grâce aux tables tournantes et aux esprits frappeurs. J’espère que pour le 3e édition il y aura encore quelque chose de nouveau ». Il ajoute
en référence à un de ses ouvrages sur Voltaire : « Je suis comme vous Monsieur, je regrette Voltaire, qui serait très utile s’il revenait, il trouverait les mêmes sottises qu’il a trouvées
autrefois ».
Dans la lettre de 1864, son correspondant lui demande des renseignements sur une étude anciennement rédigée. Il écrit avoir recherché ses notes : « c’est une masse assez effrayante » et «
j’y suis perdu ». Il évoque sa méthode de travail : « Il n’y a pas dans cette étude un fait qui n’ait été mis dans le document du temps ; je n'ai rien admis au dehors », a lu mémoires
et lettres « en faisait copier tout ce qui m'offrait de l'intérêt » et ajoute « Grimm et les Mémoires secrets m’ont beaucoup fourni. Voulezvous voir donc ces deux ouvrages ? ».