André Maurois (1895-1967), écrivain.

1) Lettre dactylographiée signée adressée à un ami. 1 page in-8 oblong pliée. Neuilly-sur-Seine, 2 décembre 1934.

Il demande à son éditeur des exemplaires de « chacun des plus importants » de ses livres pour des ventes de charité.

2) Lettre dactylographiée signée à Louis Charles Bellet (1880-1951), homme politique, industriel, homme de lettres, directeur de la Revue du Tarn. ½ page (demi in-4), en-tête à son domicile parisien, le 6 mai 1938

André Maurois remercie son interlocuteur à propos d'une mention de Chateaubriand.

« Mon cher confrère,

Je n’avais pas vu votre note sur le passage à Albi de Chateaubriand, mais je vais la faire rechercher. Je vous recevrai très volontiers si vous voulez venir me voir un dimanche matin après vous être assuré par téléphone que je suis bien chez moi. 

Croyez, je vous prie, à mes sentiments les meilleurs

André Maurois »

3) Carte postale autographe signée (9 x 14 cm). Recto. 12 septembre 1950. Avec enveloppe. Verso : vue du château d’Essendiéras (Dordogne).

Maurois admet une erreur et va la corriger.

« Merci, car vous avez raison. Le passage en question se trouvait, dans les carnets, parmi les textes inédits, ou tout au moins différent des textes imprimés. J’ai cru que celui-ci était de la même veine. La note disparaitra dès la prochaine réimpression. »

4) André MAUROIS (1885-1967), écrivain

Lettre autographe signée. 1 page in-4. 1927 (marques postales). Avec enveloppe.

Il avait demandé à son correspondant, sans doute rédacteur journaliste, « une petite note pour Ernest de Ganay » (historien des jardins et châteaux ») pour son livre Les embarquements : histoire de quatre jeunes filles. Cependant rien n’a paru « et le pauvre Ganay me supplie de vous en reparler. Vous me feriez plaisir par quelques mots ».